Commentant les événements climatiques extrêmes qu'a connu le Maroc dernièrement, l'ONG internationale appelle le Maroc à mettre en œuvre un plan d’action national de gestion des risques de catastrophes naturelles.
Mohammed Tazrouti, chargé de campagne à Greenpeace Moyen-Orient et Afrique du Nord, a affirmé que la région MENA «est particulièrement touchée par le phénomène du changement climatique plus que d’autres, et par conséquent, elle paie le prix le plus élevé de ses effets». Et d'expliquer que « ces drames révèlent l'absence du principe de justice climatique entre les pays du Nord et du Sud ».
Pour le cas du Maroc, le responsable a tenu à souligner que « toutes les villes sont menacées par le changement climatique, dont les conséquences peuvent être désastreuses à l'avenir, que ce soit au niveau de la vie, des infrastructures et de l'économie ».
Il a également rappelé que le plan d’action national de gestion des risques de catastrophes naturelles s’articule autour de cinq axes, répartis en 18 programmes et 56 projets. Présenté en février par le ministère de l’Intérieur, il détermine 4 types de catastrophes naturelles sur lesquelles il faudra travailler, à savoir les tsunamis, l’érosion du sol, les séismes, et les inondations. Le plan évoque l’amélioration de la gestion des risques naturels, l’amélioration des connaissances et de l'évaluation, la prévention et renforcement de la résilience et de la préparation. Il repose également sur la participation de tous les acteurs, que ce soit au niveau central ou local, et la diversification des sources de financement des projets liés à la prévention des risques naturels.
Mohammed Tazrouti, chargé de campagne à Greenpeace Moyen-Orient et Afrique du Nord, a affirmé que la région MENA «est particulièrement touchée par le phénomène du changement climatique plus que d’autres, et par conséquent, elle paie le prix le plus élevé de ses effets». Et d'expliquer que « ces drames révèlent l'absence du principe de justice climatique entre les pays du Nord et du Sud ».
Pour le cas du Maroc, le responsable a tenu à souligner que « toutes les villes sont menacées par le changement climatique, dont les conséquences peuvent être désastreuses à l'avenir, que ce soit au niveau de la vie, des infrastructures et de l'économie ».
Il a également rappelé que le plan d’action national de gestion des risques de catastrophes naturelles s’articule autour de cinq axes, répartis en 18 programmes et 56 projets. Présenté en février par le ministère de l’Intérieur, il détermine 4 types de catastrophes naturelles sur lesquelles il faudra travailler, à savoir les tsunamis, l’érosion du sol, les séismes, et les inondations. Le plan évoque l’amélioration de la gestion des risques naturels, l’amélioration des connaissances et de l'évaluation, la prévention et renforcement de la résilience et de la préparation. Il repose également sur la participation de tous les acteurs, que ce soit au niveau central ou local, et la diversification des sources de financement des projets liés à la prévention des risques naturels.
Et de conclure que « la région MENA dans son ensemble a besoin de proposer une voie de développement différente, un modèle économique alternatif, qui offre une vie décente aux gens en plus de la durabilité environnementale qui prend en compte le changement climatique. Pour y parvenir, il est nécessaire de renforcer le débat sur les principes d'une économie fondée sur l'intérêt public, qui prend en compte la durabilité environnementale et les effets dévastateurs du changement climatique ».