La vidéo s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. On y voit un adulte s’adonner à des attouchements à caractère sexuel sur un enfant mineur, au vu et au su de tout le monde. L’homme en question serait un animateur dans une colonie de vacances, et les faits se seraient déroulés sur une plage d’El Jadida. La police judiciaire de la ville d’El Jadida a aussitôt réagi, en interpellant le coupable de ces actes pédocriminels.
Ce scandale qui est venu troubler la quiétude des vacanciers et rappeler que ces monstres sont parmi nous, à l’affût de la moindre occasion pour abuser de l’innocence de nos enfants, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, qui passent, hélas, inaperçus. Il vient également remettre en lumière la fragi- lité des dispositifs de contrôle dédiés aux maisons de jeunes et aux différentes organisations de la société civile qui organisent les vacances pour enfants. Car oui, si ce n’était la vigilance des citoyens, le criminel de la plage d’El Jadida aurait encore sévi pour longtemps.
D’où la question : comment, durant plusieurs années, cet individu a-t-il pu passer entre les mailles du filet ? Ses collègues, les responsables de l’association, les parents, les autorités locales et nationales qui donnent les autorisations pour ce genre d’activités, n’ont rien remarqué, rien relevé d’anormal. Sans accuser personne de complicité, nous pouvons noter qu’aucun outil n’a été mis en place pour prévenir et alerter de ces comportements.
La protection de l’enfance doit être placée au cœur des préoccupations de la société. Et chaque acte de violence, physique ou psychologique, doitêtre puni le plus sévèrement possible.
Ce scandale qui est venu troubler la quiétude des vacanciers et rappeler que ces monstres sont parmi nous, à l’affût de la moindre occasion pour abuser de l’innocence de nos enfants, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, qui passent, hélas, inaperçus. Il vient également remettre en lumière la fragi- lité des dispositifs de contrôle dédiés aux maisons de jeunes et aux différentes organisations de la société civile qui organisent les vacances pour enfants. Car oui, si ce n’était la vigilance des citoyens, le criminel de la plage d’El Jadida aurait encore sévi pour longtemps.
D’où la question : comment, durant plusieurs années, cet individu a-t-il pu passer entre les mailles du filet ? Ses collègues, les responsables de l’association, les parents, les autorités locales et nationales qui donnent les autorisations pour ce genre d’activités, n’ont rien remarqué, rien relevé d’anormal. Sans accuser personne de complicité, nous pouvons noter qu’aucun outil n’a été mis en place pour prévenir et alerter de ces comportements.
La protection de l’enfance doit être placée au cœur des préoccupations de la société. Et chaque acte de violence, physique ou psychologique, doitêtre puni le plus sévèrement possible.