La nuit du lundi à 23h48, un séisme de magnitude 5,2 a secoué la région de Ouezzane, réveillant les souvenirs douloureux du drame d’AlHaouz. Les secousses, ressenties dans plusieurs villes, ont poussé de nombreux habitants à quitter précipitamment leurs foyers, gagnés par la panique, car, depuis le 9 septembre 2023, la terre qui tremble au Maroc n’est plus qu’un phénomène géologique, mais une plaie encore vive.
Le traumatisme du séisme d’AlHaouz, dont les ravages restent gravés dans les mémoires, refait surface à chaque nouvelle secousse, surtout dans les régions sinistrées où le processus de relogement s’éternise. Parqués pour la plupart dans des logements de fortune, principalement des tentes ou des masures bricolées de bric-à-brac en flanc de montagnes, ces concitoyens, physiquement et émotionnellement éprouvés par les séquelles du tremblement de terre, méritent encore et toujours toute notre attention, et surtout notre engagement. Et si la secousse de Ouezzane fût inoffensive, elle vient nous rappeler néanmoins que notre pays est susceptible de revivre des épisodes douloureux, qui requièrent vigilance et anticipation.
C’est dire qu’en plus des enveloppes colossales déployées depuis que la terre a tremblé à Al-Haouz, de grands efforts et d’énormes sacrifices s’imposent davantage pour soigner les plaies générées par l’une des plus grandes catastrophes de notre Histoire. En plus de la reconstruction des maisons dans les zones sinistrées, la phase de la réhabilitation devrait se hisser au rang de chantier national, qui prévoit l’accompagnement économique à long terme des populations de toutes les régions à risque. La question de la sensibilisation des populations est également de mise, pour éviter les moments de paniques qui peuvent induire à des incidents graves. L’exemple de pays comme le Japon, le Chili ou la Californie aux ÉtatsUnis, où les séismes sont fréquents, est saillant. Dès l’école, les enfants apprennent les bonnes pratiques en cas de catastrophe. A cela s’ajoute les exercices réguliers, les systèmes d’alerte précoce et sans oublier les bâtiments construits pour résister aux secousses. C’est ainsi que nous pouvons éviter le pire.
Le traumatisme du séisme d’AlHaouz, dont les ravages restent gravés dans les mémoires, refait surface à chaque nouvelle secousse, surtout dans les régions sinistrées où le processus de relogement s’éternise. Parqués pour la plupart dans des logements de fortune, principalement des tentes ou des masures bricolées de bric-à-brac en flanc de montagnes, ces concitoyens, physiquement et émotionnellement éprouvés par les séquelles du tremblement de terre, méritent encore et toujours toute notre attention, et surtout notre engagement. Et si la secousse de Ouezzane fût inoffensive, elle vient nous rappeler néanmoins que notre pays est susceptible de revivre des épisodes douloureux, qui requièrent vigilance et anticipation.
C’est dire qu’en plus des enveloppes colossales déployées depuis que la terre a tremblé à Al-Haouz, de grands efforts et d’énormes sacrifices s’imposent davantage pour soigner les plaies générées par l’une des plus grandes catastrophes de notre Histoire. En plus de la reconstruction des maisons dans les zones sinistrées, la phase de la réhabilitation devrait se hisser au rang de chantier national, qui prévoit l’accompagnement économique à long terme des populations de toutes les régions à risque. La question de la sensibilisation des populations est également de mise, pour éviter les moments de paniques qui peuvent induire à des incidents graves. L’exemple de pays comme le Japon, le Chili ou la Californie aux ÉtatsUnis, où les séismes sont fréquents, est saillant. Dès l’école, les enfants apprennent les bonnes pratiques en cas de catastrophe. A cela s’ajoute les exercices réguliers, les systèmes d’alerte précoce et sans oublier les bâtiments construits pour résister aux secousses. C’est ainsi que nous pouvons éviter le pire.
