Lors de son passage dans l’émission « Nouqta Ila Satr », diffusée sur Al Oula, Nizar Baraka, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal et ministre de l’Équipement et de l’Eau, a lancé un cri d’alerte contre ce qu’il a qualifié de « cupidité des commerçants et des spéculateurs ». Il a dénoncé la logique du « profit rapide » et de « l’opportunisme », qui, selon lui, ronge le pouvoir d’achat des Marocains, voire menace la stabilité sociale.
Dans ce contexte tendu, Baraka a plaidé pour l’élaboration d’un « pacte économique éthique », une charte destinée à protéger les consommateurs contre les pratiques abusives qui se sont aggravées sur le marché national ces dernières années.
Le ministre n’a pas caché son indignation face à la flambée des prix des produits de première nécessité, estimant que le problème est avant tout « moral » avant d’être juridique et réglementaire. Selon lui, la spéculation sur les crises et la recherche effrénée de profits animent certains lobbys, « qui exploitent la conjoncture actuelle pour engranger des marges excessives, notamment dans des secteurs à forte demande comme la viande, les légumes et les fruits ». Baraka a révélé que les intermédiaires accaparent 50 % du prix des produits agricoles, tandis que les agriculteurs ne perçoivent que 30 % de la valeur finale. Une situation qu’il juge inacceptable et qui nécessite une intervention ferme pour restructurer les circuits de distribution et rétablir une justice dans la fixation des prix.
Au moment où certains appellent au plafonnement des prix, Baraka affirme qu’une telle mesure ne ferait qu’affaiblir les petits agriculteurs au profit des grands importateurs. À ses yeux, la véritable solution réside dans la mise en place d’un pacte économique, garantissant la transparence et luttant contre les pratiques monopolistiques et les spéculations abusives.
C’est dans cette logique que le ministre a salué la décision royale «courageuse » d’annuler cette année le rituel du sacrifice de l’Aïd. Une mesure qui, selon lui, a été largement bien accueillie par la population. Face à la pénurie de bétail, qui aurait entraîné une explosion des prix des moutons, cette initiative a permis d’éviter une pression supplémentaire sur les ménages. Baraka a ainsi réaffirmé que le Parti de l’Istiqlal « ne tolérera pas que l’avidité continue de nuire au pouvoir d’achat des citoyens ». Il a également rappelé que le parti de la Balance a été la première à tirer la sonnette d’alarme et à réclamer une réunion d’urgence du gouvernement pour trouver des solutions concrètes en faveur des consommateurs.
Dans ce contexte tendu, Baraka a plaidé pour l’élaboration d’un « pacte économique éthique », une charte destinée à protéger les consommateurs contre les pratiques abusives qui se sont aggravées sur le marché national ces dernières années.
Le ministre n’a pas caché son indignation face à la flambée des prix des produits de première nécessité, estimant que le problème est avant tout « moral » avant d’être juridique et réglementaire. Selon lui, la spéculation sur les crises et la recherche effrénée de profits animent certains lobbys, « qui exploitent la conjoncture actuelle pour engranger des marges excessives, notamment dans des secteurs à forte demande comme la viande, les légumes et les fruits ». Baraka a révélé que les intermédiaires accaparent 50 % du prix des produits agricoles, tandis que les agriculteurs ne perçoivent que 30 % de la valeur finale. Une situation qu’il juge inacceptable et qui nécessite une intervention ferme pour restructurer les circuits de distribution et rétablir une justice dans la fixation des prix.
Au moment où certains appellent au plafonnement des prix, Baraka affirme qu’une telle mesure ne ferait qu’affaiblir les petits agriculteurs au profit des grands importateurs. À ses yeux, la véritable solution réside dans la mise en place d’un pacte économique, garantissant la transparence et luttant contre les pratiques monopolistiques et les spéculations abusives.
C’est dans cette logique que le ministre a salué la décision royale «courageuse » d’annuler cette année le rituel du sacrifice de l’Aïd. Une mesure qui, selon lui, a été largement bien accueillie par la population. Face à la pénurie de bétail, qui aurait entraîné une explosion des prix des moutons, cette initiative a permis d’éviter une pression supplémentaire sur les ménages. Baraka a ainsi réaffirmé que le Parti de l’Istiqlal « ne tolérera pas que l’avidité continue de nuire au pouvoir d’achat des citoyens ». Il a également rappelé que le parti de la Balance a été la première à tirer la sonnette d’alarme et à réclamer une réunion d’urgence du gouvernement pour trouver des solutions concrètes en faveur des consommateurs.
