Alors que le déconfinement approche, Citroën compte en profiter pour lancer son nouveau véhicule 100 % électrique fabriqué au Maroc. La marque de PSA avait dévoilé en février sa mini-voiture «Ami», sans permis et à petit prix. Selon le magazine électronique «L’Usine Nouvelle» les clients pourront passer commande en ligne dès le 11 mai, date à partir de laquelle doit également débuter le déconfinement dans plusieurs pays en Europe, notamment la France. Ce véhicule fabriqué dans l'usine PSA de Kénitra sera mis en vente à partir de 6 900 euros (soit près de 74.100 MAD). L’entreprise française veut rivaliser les pass de transports en commun avec une offre de location longue durée, indique la même source.

Sur fond de crise sanitaire, le nombre de chômeurs partiels en France a dépassé les 13 millions de personnes, soit 45% de l’ensemble de la population active. La France compte ainsi plus du tiers des chômeurs partiels européens (35 millions). Sur le plateau de RTL. Selon lui François Lenglet la France est, en premier lieu, une économie de services, qui emploie donc plus de personnes. La France est la première destination touristique mondiale, avec 1 million d’employés dans l’hôtellerie et la restauration, or tous ses salariés ne peuvent plus travailler aujourd’hui, poursuit M.Lenglet.

La police judiciaire de Nador a ouvert samedi une enquête, sous la supervision du Parquet compétent, à l’encontre d’un citoyen turc pris en flagrant délit de tentative de trafic de 230 kilogrammes de chira à bord d'un camion immatriculé aux Pays-Bas.
Les éléments de la sûreté nationale et les services des douanes opérant au port de Nador ont interpellé le suspect en flagrant délit de trafic de la drogue alors qu’il s’apprêtait à embarquer vers le port d'Alméria, en Espagne, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

L’administration de la prison locale Tanger 1 dément catégoriquement que le pensionnaire M. Z. est décédé à cause du Coronavirus.  L’administration en question a souligné que le défunt s'était présenté le 2 mai à l'infirmerie de l'établissement après avoir ressenti un malaise brusque et ne présentait aucun symptôme de contamination au Covid-19.

La même source a précisé qu’il ne partageait pas la chambre avec des personnes ayant été testées positives au virus, et qu’après avoir constaté des symptômes relatifs au diabète, dont souffrait le défunt, le
médecin de la prison a ordonné de le transférer à l'hôpital Mohammed V de Tanger.

Dans un communiqué publié samedi 2 mai, la Fédération nationale de la sécurité sociale (FNPSS) affiliée à l'Union marocaine du travail (UMT), fait savoir que « l’opinion publique, le personnel et les usagers de la polyclinique de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), s’indignent contre le licenciement de son directeur ». Pour cause, la célébration de la rémission d’un certain nombre de personnes infectées par le Covid-19, soignées dans la clinique qu’il dirige, ajoute la même source.

Le Secrétaire général de l'ONU a appelé, samedi 2 mai, à une plus grande protection des journalistes qui fournissent «le remède» à ce qu'il qualifie de pandémie de désinformation entourant la crise du COVID-19.
Antonio Guterres a lancé cet appel dans un message vidéo pour la Journée mondiale de la liberté de la presse, observée dimanche, dans lequel il souligne le rôle crucial des médias pour aider les gens à prendre des décisions éclairées. Dans les circonstances actuelles, ces décisions peuvent faire la différence entre la vie et la mort, ajoute-t-il.

Après une semaine de vacances (du 27 avril au 3 mai), les cours à distance ont repris, lundi 4 mai, par le biais des chaînes TV Attaqafia, Laâyoune, Al Amazighia et Arryadia, outre le portail « TelmidTICE », comme annoncé par le ministre de l’Education Nationale, Saaid Amzazi, sur son compte Facebook. Le ministre a tenu également à inviter les étudiants à poursuivre leur apprentissage à travers les canaux mis en place depuis l’arrêt des cours en présentiel, le 16 mars dernier.

Selon une source bien renseignée au sein du ministère de l’Education Nationale, le ministre et porte-parole du gouvernement, Saaïd Amzazi, aurait renoncé à son droit de poursuivre en justice l’étudiant qui l’avait menacé de meurtre. L’étudiant, âgé de 20 ans et poursuivant ses études au Lycée Oued Eddahab à Tiflet, comparaîtra aujourd'hui, lundi 4 avril, devant le procureur général. Il avait été interpellé samedi dernier par les services de police, suite à la publication d’une image sur les réseaux sociaux comportant des menaces de mort à l’encontre du ministre.

Quelque 200 unités industrielles opérant à Marrakech ont été contrôlées pour s’assurer de leur respect des normes de sécurité sanitaire en vigueur, depuis l’instauration de l’état d’urgence, a affirmé le chef de la Division des Affaires économiques de la wilaya de la région de Marrakech-Safi, Maâti Alga.

Des commissions élargies composées de représentants de la wilaya de la région, du ministère du Commerce et de l'Industrie, des autorités locales et du ministère de l'Emploi, ont procédé au recensement des différentes unités industrielles qui poursuivent leurs activités en cette conjoncture, a indiqué le responsable.

« Non seulement le projet de loi 22-20 sur l’usage des réseaux sociaux devait être retiré, mais le ministre qui en est l’instigateur doit également partir », c’est ce que vient de déclarer Abdellatif Ouahbi, secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM) en allusion au ministre de la justice USFPeiste Mohamed Ben Abdelkader. Le propos a été tenu lors d’une conférence d’interaction entre partis de l’opposition organisée par visioconférence dimanche soir, à laquelle ont également pris part les secrétaires généraux de l’Istiqlal et du Parti du Progrès et du Socialisme (PPS), Nizar Baraka et Nabil Benabdellah.