Le livre sacré de l’Islam est encore une fois pris pour cible, et de nouveau cet acte inique s’est passé en Suède. Le mercredi 28 juin dernier, un exemplaire du Saint Coran a fait l’objet d’un autodafé, dans une provocation flagrante à l’égard des 1,8 milliard de musulmans dans le monde, sous couvert de liberté d’expression. Les autorités suédoises ont donc permis à un de leurs citoyens, d’origine irakienne, de mettre à mal la communauté musulmane vivant en Europe, qui fait l’objet depuis quelques années déjà d’actes de discours et d’actes stigmatisants portés par une extrême-droite de plus en plus « décomplexée».
Le Royaume du Maroc a tôt fait de réagir, en rappelant son ambassadeur à Stockholm pour consultation et en convoquant le Chargé d’Affaires du Royaume de Suède à Rabat, afin de lui signifier la condamnation la plus vigoureuse de cette offense et le rejet de cet acte inadmissible. Une réaction loin d’être anodine puisque, en tant qu’Amir Al-Mouminine, Sa Majesté le Roi Mohammed VI est avant tout un protecteur des musulmans et de la foi musulmane. N’oublions pas qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé, mais d’une provocation répétitive qui pourrait s’apparenter dans l’esprit et le ressenti des musulmans à une croisade initiée ou couverte par la Suède.
La dernière provocation en date remonte à pas plus tard que janvier dernier, où l’extrémiste de droite suédois Rasmus Paludan avait brûlé un exemplaire du Coran devant la plus grande mosquée de Stockholm. De par sa complaisance, le gouvernement de ce pays scandinave jette de l’huile sur le feu, dans un climat tendu en Europe et à l’international, où le dialogue entre religions et communautés devient de plus en plus difficile.
En montrant sa colère de manière “diplomatique”, le Maroc rejette par la même occasion l’intolérance montante en Europe. Quoi de plus normal pour un Royaume qui s’est toujours placé comme pôle de concorde entre les trois religions du livre, et pont entre le monde occidental et le monde musulman.
Le Royaume du Maroc a tôt fait de réagir, en rappelant son ambassadeur à Stockholm pour consultation et en convoquant le Chargé d’Affaires du Royaume de Suède à Rabat, afin de lui signifier la condamnation la plus vigoureuse de cette offense et le rejet de cet acte inadmissible. Une réaction loin d’être anodine puisque, en tant qu’Amir Al-Mouminine, Sa Majesté le Roi Mohammed VI est avant tout un protecteur des musulmans et de la foi musulmane. N’oublions pas qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé, mais d’une provocation répétitive qui pourrait s’apparenter dans l’esprit et le ressenti des musulmans à une croisade initiée ou couverte par la Suède.
La dernière provocation en date remonte à pas plus tard que janvier dernier, où l’extrémiste de droite suédois Rasmus Paludan avait brûlé un exemplaire du Coran devant la plus grande mosquée de Stockholm. De par sa complaisance, le gouvernement de ce pays scandinave jette de l’huile sur le feu, dans un climat tendu en Europe et à l’international, où le dialogue entre religions et communautés devient de plus en plus difficile.
En montrant sa colère de manière “diplomatique”, le Maroc rejette par la même occasion l’intolérance montante en Europe. Quoi de plus normal pour un Royaume qui s’est toujours placé comme pôle de concorde entre les trois religions du livre, et pont entre le monde occidental et le monde musulman.