En réponse aux questions des parlementaires sur la cybercriminalité lors de la séance plénière consacrée aux questions orales, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a condamné l'exploitation de la liberté d’expression par certains influenceurs et des journalistes sur les réseaux sociaux pour se livrer à des actes de diffamation et de chantage contre des personnalités publiques au mépris des règles déontologiques.
« Il faut distinguer la liberté d’expression des propos diffamatoires qui tombent sous le coup de la loi », a insisté le ministre au début de son intervention. Pour le ministre, la liberté d’expression n’exonère personne de poursuites pour délit d’opinion et diffamation. « La Constitution garantit la liberté d'expression dans les limites prévues par la loi, la liberté s'arrête là où elle atteint la dignité, la réputation, et d'honneur d’autrui », a t-il précisé.
Ouahbi a critiqué les pratiques de certains journalistes qui, selon lui, attribuent des crimes à des personnalités publiques sans fondements et en font un outil de chantage. Le ministre a rappelé que "de même que le criminel revendique la liberté d’expression, la partie lésée a elle aussi le droit de saisir la justice pour défendre son honneur en cas de diffamation ou de calomnies".
A cette occasion, le ministre a réitéré son appel aux citoyens de faire valoir leurs droits et de porter plainte s'ils font l'objet de propos mensongers.
« Il faut distinguer la liberté d’expression des propos diffamatoires qui tombent sous le coup de la loi », a insisté le ministre au début de son intervention. Pour le ministre, la liberté d’expression n’exonère personne de poursuites pour délit d’opinion et diffamation. « La Constitution garantit la liberté d'expression dans les limites prévues par la loi, la liberté s'arrête là où elle atteint la dignité, la réputation, et d'honneur d’autrui », a t-il précisé.
Ouahbi a critiqué les pratiques de certains journalistes qui, selon lui, attribuent des crimes à des personnalités publiques sans fondements et en font un outil de chantage. Le ministre a rappelé que "de même que le criminel revendique la liberté d’expression, la partie lésée a elle aussi le droit de saisir la justice pour défendre son honneur en cas de diffamation ou de calomnies".
A cette occasion, le ministre a réitéré son appel aux citoyens de faire valoir leurs droits et de porter plainte s'ils font l'objet de propos mensongers.