
En cette mi-ramadan 2025, les marocains qui ne le connaissaient pas encore, viennent de faire connaissance avec un drôle d’oiseau. Il s’agit du guignolesque Rachid Nekkaz, ex vrai-faux candidat à la présidence de l’Algérie en 2014 et en 2019, rendu célèbre à partir des années 2010 par ses mises en scène d’acquittement d’amendes au profit des femmes verbalisées en France pour port de la Burka, puis par sa vraie-fausse condamnation à cinq années de prison, sanction qu’il ne purgera malheureusement pas jusqu’au bout. Car si tel avait été le cas, on aurait au moins pu faire l’économie d’une basse et absurde polémique et des présentes lignes dont elle a motivé l’écriture. Mais la polémique a bien eu lieu.
Armé de toute l’effronterie et de la mauvaise foi qui caractérisent ses commanditaires actuels qui ne sont autres que ses anciens géôliers du régime des généraux algériens avec lesquels il semble s’être désormais acoquiné, le Nekkaz, en éternel apprenti provocateur qu’il est, a jugé bon de se pointer au beau milieu du Royaume du Maroc pour en insulter le passé, le présent et l’avenir. Du haut de sa cinquantaine de kilos tout mouillé, équipé de son smartphone et de sa voix nasillarde et haut perchée qui écorche les âmes autant que les tympans, Nekkaz a tenté la prouesse de rafler dans le même sac de l’appropriation culturelle et politique dont ses congénères sont devenus les experts, la paternité historique de la Koutoubia et la souveraineté partagée sur le Sahara.
Les assertions de Nekkaz qui ne valent guère plus que leur pesant de postillons, ne méritent bien évidemment ni réponse, ni offuscation. Preuve en est qu’elles ne lui ont values qu’une simple et sage reconduction aux frontières, à mille lieues de la bastonnade qu’il rêvait et méritait de se faire administrer par d’impulsifs concitoyens, et encore moins l’embastillement dans l’une ou l’autre de nos prisons pour crime de lèse-souveraineté qu’il escomptait se faire infliger par nos autorités. Car tel était le but ultime de la manœuvre imaginée par ses commanditaires : susciter une réaction impulsive de nos concitoyens et surtout de nos autorités pour les piéger dans une situation analogue à celle dans laquelle le régime algérien est empêtré depuis l’emprisonnement de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour ses propos sur la marocanité du Sahara et de l’Ouest algérien. Une manœuvre qui a fait pschitt. Mais une manœuvre qui ne sera certainement pas la dernière, au fur et à mesure que l’on s’approchera de l’organisation de la prochaine Coupe d’Afrique.
Armé de toute l’effronterie et de la mauvaise foi qui caractérisent ses commanditaires actuels qui ne sont autres que ses anciens géôliers du régime des généraux algériens avec lesquels il semble s’être désormais acoquiné, le Nekkaz, en éternel apprenti provocateur qu’il est, a jugé bon de se pointer au beau milieu du Royaume du Maroc pour en insulter le passé, le présent et l’avenir. Du haut de sa cinquantaine de kilos tout mouillé, équipé de son smartphone et de sa voix nasillarde et haut perchée qui écorche les âmes autant que les tympans, Nekkaz a tenté la prouesse de rafler dans le même sac de l’appropriation culturelle et politique dont ses congénères sont devenus les experts, la paternité historique de la Koutoubia et la souveraineté partagée sur le Sahara.
Les assertions de Nekkaz qui ne valent guère plus que leur pesant de postillons, ne méritent bien évidemment ni réponse, ni offuscation. Preuve en est qu’elles ne lui ont values qu’une simple et sage reconduction aux frontières, à mille lieues de la bastonnade qu’il rêvait et méritait de se faire administrer par d’impulsifs concitoyens, et encore moins l’embastillement dans l’une ou l’autre de nos prisons pour crime de lèse-souveraineté qu’il escomptait se faire infliger par nos autorités. Car tel était le but ultime de la manœuvre imaginée par ses commanditaires : susciter une réaction impulsive de nos concitoyens et surtout de nos autorités pour les piéger dans une situation analogue à celle dans laquelle le régime algérien est empêtré depuis l’emprisonnement de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour ses propos sur la marocanité du Sahara et de l’Ouest algérien. Une manœuvre qui a fait pschitt. Mais une manœuvre qui ne sera certainement pas la dernière, au fur et à mesure que l’on s’approchera de l’organisation de la prochaine Coupe d’Afrique.